POINT SUR LA NEGOCIATION EN COURS
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Ici, pas question de se flageller parce qu’on pollue en se déplaçant vers son lieu de travail. Parlons plutôt de ce que pourrait faire notre employeur pour améliorer sa RSE (Responsabilité sociétale et environnementale).
On travaille souvent à plus d’une heure de son domicile et on ne dispose souvent pas de transports en commun de proximité.
En IDF, se loger coûte cher.
Les conditions posées par l’employeur pour obtenir un rapprochement géographique sont en total décalage avec le contexte actuel.
Il est devenu très fréquent de rencontrer des salariés qui préfèrent démissionner plutôt que d’attendre 3 années dans l’emploi et 3 années sur leur lieu d’affectation.
Faire sauter ces verrous, recenser toutes les mobilités en attente y compris celles non déposées dans l’outil mobilité et mettre en place un plan mobilité sont primordiaux pour Sud.
La CEIDF a choisi un autre biais, plus arrangeant pour elle en faveur de la réduction énergétique : le forfait mobilité durable exonéré de de cotisations sociales et d’impôt sur le revenu pour ceux qui utiliseront un vélo, une trottinette, électriques ou pas, un gyropode ou encore le co-voiturage.
Le projet d’accord prévoit 250 € par an alors que les pouvoirs publics permettent de percevoir 700 €, son engagement est prudent ! Comme pour la prime de partage de la valeur ajoutée…et toujours sans cotisations sociales.
Sur le pass Navigo, pas de coup de pouce à prévoir alors que la CEIDF pourrait aller jusqu’à 75% de prise en charge. Vraie contribution « verte » et financière en période de crise inflationniste pour le salarié,
Prochaine Négo le 7/04